La problématique de la gestion de l’eau varie d’un pays à un autre. Par exemple, en Bretagne (France), la question de la circulation des nitrates et des pesticides dans l’eau de surface se pose de façon cruciale. Au Burkina, le pays est confronté à de faibles précipitations, une forte évaporation (2m/an) et aucun apport d’eau d’un pays étranger. Ce problème de quantité et de disponibilité nécessite donc une “bonne” gestion de l’eau et, par exemple, des moyens pour transformer certains comportements, tels que le non-paiement des taxes, essentiellement des gros consommateurs (ex: les mines). Néanmoins, des expériences et projets existent visant à organiser des systèmes alimentaires territoriaux à l’échelle d’un bassin hydrographique et qui intègrent la gestion de la ressource en eau, la promotion de l’agroécologie et valorisation de celle-ci à travers des circuits courts de consommation.